Le rêve de Vincent Perez

La fascination des contes de fée

Vincent PEREZ et Tiburge OGER
« La forêt »
Le logis des âmes
Casterman

Vincent PEREZ a toujours été fasciné par les contes. Par le biais de la bande dessinée, il se donne un magnifique support pour faire de ses rêves des réalités mises en images (superbes) par Tiburge OGER.

Cela donne « La Forêt » dans laquelle nous entrons en ouvrant ce deuxième volume de la série : « Le logis des âmes ».

Le comédien nous livre ici les détours de l’imaginaire qui le conduisent à évoquer le deuil, l’enfance, la magie… Il nous dévoile aussi un scoop concernant le prochain volume de la série qui portera le titre de « Viva la muerte » et se déroulera au pays de Don Quichotte.

Cet album est un enchantement…une musique semble accompagner chaque vignette…

On est emporté par le récit, le dessin, la magie… « La forêt » devient un envoûtement de tous les sens…

Edmond Morrel

Vincent Perez dans Wikipedia :
Vincent Pérez débute au cinéma en 1985 dans le Gardien de la nuit. C’est en 1990 qu’il s’impose au niveau international en jouant dans Cyrano de Bergerac. Il est cité au César du meilleur espoir masculin. En 1993, on le retrouve dans Indochine, lauréat de l’Oscar du meilleur film en langue étrangère. Il obtient la même année le Prix Jean-Gabin. Dès lors, il interprète des personnages d’amants romantiques dans La Reine Margot, Fanfan, des films qui lui permettent de côtoyer des acteurs français d’envergure. Il joue par la suite dans une trentaine de films européens ou américains. Il est cité au César du meilleur acteur dans un second rôle 1998 pour son interprétation dans le Bossu et l’année suivante pour Ceux qui m’aiment prendront le train.
En 1992, il fait ses débuts de réalisateur avec le court-métrage « L’échange », nommé au Prix du jury du court-métrage à Cannes. Il est retourné derrière la caméra en 1999 pour réaliser « Rien dire » également cité à Cannes. En 2002, il réalise son premier long métrage Peau d’Ange dont il était également co-scénariste.