« Ce que le jour doit à la nuit »
Voici un roman qui s’inscrit d’emblée dans la bibliothèque de la conscience humaine. .
Yasmina Khadra explore la complexité des ressorts de l’âme humaine et fait de son lecteur un être dont la vision du monde s’est transformée, dont l’écoute du monde est plus attentive, dont la curiosité vers l’autre s’appelle tolérance, empathie, accueil de la différence, compréhension…
« Il n’y a ni honte ni crime en amour, sauf quand on le sacrifie, y compris pour les bonnes causes »…
C’est peut-être la clé du roman, cette phrase-là. On peut y remplacer le mot « amour » par dignité, respect, tolérance…
L’espoir aussi s’inscrit à chaque ligne de ce roman ainsi que le pardon, dernière étape avant la paix, dernière prase du roman : « Va en paix »… « tabqa ala khir… »
Edmond Morrel
Le livre sur le site de l’éditeur
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