« Narconews »
« Au nom du néant » (Murmure des Soirs)
« Amours sanglantes » (« L’âge d’homme)
« La nuit des nus » (Lèse Art)
La jeune éditrice Françoise Salmon développe depuis quelques années un catalogue littéraire d’une haute tenue. Au programme de son « Murmure des soirs », les livres de Jean-Marc Rigaux, Alain Dartevelle, Anne Van Maele, Michel Van den Bogaert et d’autres sont là pour témoigner de la diversité des livres parus sous couverture rouge et bandeau manuscrit… les deux signes distinctifs de la collection initiale.
Nous avons rencontré Alain Dartevelle qui évoque quatre de ses derniers ouvrages, dont deux parus au « Murmure » , un à « L’âge d’homme » et le dernier chez « Lèse Art ».
Il nous parle de son travail d’écrivain, des sources d’inspiration, de la fantaisie de n’appartenir à aucune catégorie..
Edmond Morrel
Sur le site des Editions « Murmure des soirs » :
« Narconews » :
De quelles passions funestes certains personnages publics sont-ils la proie ?
Quels printemps houleux et conflits décisifs nos sociétés vont-elles bientôt devoir vivre ? Comment donc a fini cet Etat Belgica dont le sort se décidait en un étrange casino ultramoderne ? Barock Obamo fut-il un saint ? Et depuis quand la vision des actualités entraîne-t-elle une addiction extrême ?
Autant de mystères que Dartevelle dissipe avec une ironie enjouée ou glacée.
Sur le site des Editions de l’âge d’homme :
« Amours sanglantes »
« Les huit histoires d’Amours sanglantes se déroulent le plus souvent dans un futur reconnaissable et dans des lieux familiers sous leurs noms d’emprunt – des intrigues qui puisent aux sources d’une anticipation douce et d’un fantastique pur et dur, né de fantasmes d’amour et de mort.
Huit histoires dont le fil conducteur, aussi rouge que le sang qui les entache, est apparemment l’amour fou des femmes. Mieux encore : l’amour fou furieux de femmes uniques dans l’instant même, puis, tout compte fait, délicieusement interchangeables dans la coulée du temps.
Gorgées d’un érotisme pervers, ces histoires sont donc des passions, dans le double sens d’attirance extrême et de lente agonie, où possession de l’autre et dépossession de soi se confrontent jusqu’à la confusion totale. Puisque les amants en série ont bien, pour pire travers, la mégalomanie… »