A Chiny, on peut aussi croiser le chemin allègre et enthousiaste d’un président. Il s’appelle Yves Planchard.
Dans les cités des contes, on rencontre des lutins, des fées, des enchanteurs, des magiciens, des enfants, des morrel, mais au détour d’une ruelle, relisant son discours d’inauguration, on peut aussi croiser le chemin allègre et enthousiaste d’un président !
A Chiny, il s’appelle Yves Planchard. Il inaugure en 2011 son premier Festival en cette qualité protocolaire. Auparavant, il mettait les mains dans le cambouis du bénévolat, et cela depuis la plus tendre adolescence. De nos jours et en nos contrées, il est malheureusement commun de dénigrer l’engagement politique.
Yves Planchard, dont nous ne voulons ni dire ni même savoir le parti auquel il adhère, appartient à la génération qui s’investit et qui réconcilie les notions de citoyenneté et d’engagement. Nous n’étions pas là pour parler politique mais pour rencontrer un Président au lendemain d’un discours d’ouverture auquel nous assistions, micro ouvert, bien sûr…
Des extraits ouvrent l’enregistrement de cet entretien.
Edmond Morrel à Chiny, juillet 2011.