« Une Anglaise à bicyclette » : le bonheur de raconter des histoires
Avec ce roman, on retrouve la verve romanesque d’un grand raconteur d’histoires, celui qui nous enchante de livre en livre depuis ses premiers grands récits américains comme « John l’enfer » ou « Abraham de Brooklyn ».Si vous vous posez la question du rôle de la littérature, de l’utilité du roman, de la fonction de la fiction ouvrez n’importe quel roman de Didier Decoin et vous aurez la réponse ! Et si le doute subsiste, écoutez cette interview qu’il nous a accordé à la sortie du livre.
Edmond Morrel